dimanche 26 octobre 2014

‘'IL EST REVENU LE TEMPS DES BETONNEURS’’ ….

REUNION DU 23 OCTOBRE 2014 SUR LE PROJET DE PADD DU FUTUR PLU

Joueur de pipeau ou superman?


Reconnaissons humblement que dans l’art de jouer du pipeau, Jean Plénat excelle. 
Et chacun a eu droit à sa part d’illusions. 
Mais ne soyons pas méchants. Après tout, pourquoi ne croirait-il pas aussi à tout ce qu’il dit, persuadé de réussir là où tout le monde s’est cassé les dents ? Sauf qu’en la matière, cela relèverait carrément de la pathologie. Les solutions sur la Tessonnière où se mèlent droit et morale, intérêts privés et publics, urbanisme et protection de l’environnement le tout lié à la sauce des appréciations personnelles relèvent plus des brèves de comptoir que d’une réflexion approfondie sur l’action publique.


Du règlement de comptes à l’épuration…


On chuchote qu’un groupe issu de l’ADRER, mère de la liste de Jean PLENAT, serait sur le point de fonder un club du 3e Age, une sorte de Club Rencontres et Amitiés.
Jusque-là rien à dire, sauf que le club ‘’Rencontres et Amitiés’’ du RAYOL-CANADEL existe déjà depuis plus de trente ans. Il fonctionne bien et semble convenir aux attentes de son public. 
Alors pourquoi un autre club ?
Il semblerait que certains membres de ce club, sans toutefois afficher une hostilité particulière, ne soient pas des fans convaincus de ‘’Jean le Hargneux’’ et, aujourd’hui au RAYOL-CANDEL, cela en fait des individus suspects.
Problème, La commune ne va sûrement pas allouer des subventions à deux clubs dont l’objet est le même. Voyons, c’est de la bonne gestion, c’est élémentaire…
Alors comment résoudre cette épineuse énigme ?
C’est simple, il suffit d’éliminer le club gêneur.
Comment ? En lui pourrissant la vie, en lui compliquant sa gestion : Nouvelle affectation de la salle municipale qui lui était réservée depuis sa création, à qui ? Pour quoi ? pour l’expédier dans la salle du bâtiment des saisonniers quand elle n’est pas occupée, décrochage de la boîte aux lettres mise en place par le club, suppression de rangements, etc…en pariant sur une démobilisation des animateurs du club. 
L’affaire semble bien engagée.


« Ensemble pour le Rayol », promettaient-ils. « Entre nous, au Rayol », fallait-il comprendre.  

lundi 20 octobre 2014

‘’Votez d’abord, je vous dirai pourquoi après’’ ….


Conseil Municipal du 17 octobre 2014

Le maire demande et obtient tous pouvoirs pour ester en justice


Cela ne suffisait pas à Jean Plénat d’avoir obtenu lors de son premier Conseil municipal tous pouvoirs pour mener des actions en justice au nom de la Mairie en cas d’urgente nécessité, Il a exigé et obtenu jeudi dernier de son Conseil la possibilité de le faire sans autorisation préalable et quel qu’en soit le motif. 
C’est naturellement la conséquence de sa condamnation par le TGI de Draguignan dans son acadabrantesque contentieux avec les copropriétaires de «Douce France et son balcon fleuri». 
Désormais, il va pouvoir tenter de régler tous ses comptes sans entrave.
Seule la conseillère Irène Allenson s’est mollement émue, s’interrogeant à juste titre sur « la responsabilité légale des élus dans ces affaires dont ils n’auraient pas connaissance à priori ».
 Jean Plénat a balayé d’un revers de manche « cette interprétation » affirmant qu’il prenait sur lui toute la responsabilité des actions engagées. 
Il n’empêche, la délégation de pouvoirs ne retire en rien la responsabilité collective de l’ensemble des élus. 
S’il y a une nouvelle action contre ‘’le balcon fleuri’’ d’Annie BENVENUTI et des copropriétaires de l’immeuble ‘’Douce France’’, ce sera bien en leur nom ! 
Auparavant, il avait précisé que cette délégation de pouvoirs en son article 2 ne l’exemptait pas de rendre compte de ces actions aux élus à chaque réunion du Conseil municipal. Chacun aura pu noter qu’il n’a pas informé les élus de la condamnation par le TGI de Draguignan. Il n’a pas cité une seule fois son action contre ‘’Douce France’’ se contentant  d’allusions : « une récente décision d’une juridiction… notre demande a été jugée irrecevable »… 
Probablement a-t-il pensé que GoodMorningRayol avait fait le travail et que c’était suffisant !

Une question idiote : Pourquoi Jean Plénat n’a-t-il pas saisi l’opportunité de la tenue du Conseil municipal pour lui demander explicitement l’autorisation de relancer la procédure contre les copropriétaires de ‘’Douce France’’, cela l’aurait mis définitivement à l’abri de tout rejet pour vice de forme ? 

Souvenirs, souvenirs...


C’était quoi l’opposition avant ?
Retour sur la dernière condamnation de Monsieur Josef, Karl, Richard KONDOLF, quérulent processif de la Commune, César des procédures perdues (sept ou huit en cinq ans), ci-devant secrétaire général de l’ADRER et conseiller particulier de «Jean le Hargneux», en quelque sorte ‘’le Maire 2’’.
Pour éviter la lourdeur du texte nous avons fait un résumé de la procédure l’opposant à Madame COUMARIANOS, ancienne maire.
Les faits sont consternants d’autant que ce sont ces gens-là qui ont aujourd’hui les pleins pouvoirs sur notre commune.

mercredi 15 octobre 2014

INTERLUDE


Certains nous interpellent sur le fait que GOOGMORNING RAYOL, lieu d’échanges plébiscité par un grand nombre de lecteurs, ne fait jamais état des actions positives du nouveau Conseil Municipal.
Cette réflexion mérite attention…

Il ne vous a pas échappé qu’il l y a peu nous avons salué l’ouverture du cabinet médical même si le hasard y a peut-être sa part.

Hélas, nous n’avons trouvé rien d’autre de significatif. Mais rassurez-vous, si demain on apprenait que le bâtiment de la pharmacie était sauvé des eaux pour quelques euros, sans être momentanément déplacé comme il a été promis, nous serions les premiers à saluer l’exploit.

Etre l’opposition est une tâche ingrate que connaissent bien ceux qui ont l’honneur aujourd’hui de diriger la commune. Cette responsabilité, ils en ont usé et parfois abusé durant de longues années passant rapidement de la critique à l’insulte. Il y a même eu condamnation pénale pour injure publique. Et personne n’a oublié les 7 procès intentés à la Mairie, tous perdus, qui ont eu pour conséquences de bloquer le projet « Cœur de village » et de consistants honoraires d’avocats.

Nous entendons être des opposants rigoureux, attentifs. Pour autant, le rôle de l’opposition n’est pas de faire la promotion du maire en place. S’il fait des choses utiles pour ses concitoyens qu’il le fasse savoir.

Il est à remarquer que, concernant notre article sur les 200 jours de Jean Plénat, les seules critiques sont « qu’on lui laisse du temps ! Rome ne s’est pas faite en un jour… » Personne ne nous a dit « vous auriez pu parler de telle ou telle réalisation, projet, initiative… ». C’est une condamnation implacable de ce début de mandat.

Pour le reste, nous laissons à Var Matin et aux Amis du Rayol, qui se sont trouvés là une nouvelle et valorisante mission, le soin d’évoquer le fait que Jean PLENAT était présent à un repas au PATEC et que ‘’Tout le monde il était content ‘’. 

lundi 13 octobre 2014

Douce France, la commune condamnée. Une gifle pour Jean Plénat.

Le TGI de Toulon a condamné aux dépens la commune jugeant irrecevable son action. Le maire, prétendant que le passage public a toujours existé, demandait que « soient retirés tous les encombrants et objets qui obstruent le passage ». En fait des pots de fleurs et des jardinières qui décorent ce balcon qui conduit aux trois logements.  Il sollicitait en outre une astreinte de 300 euros par jour et une somme de 1500 euros au titre de l’article 700 du code de procédure civile.