mardi 4 août 2015

LE COUP DE GUEULE DE VAR-MATIN

Et pan sur le bec. Pas content le journaliste du quotidien local. Il a été éconduit par PEPONE de la réunion des ARC et se demande bien pourquoi. Imaginez pourtant l’effet ; le Préfet, au lendemain de cette réunion, découvrant dans son quotidien de référence la stratégie à trois sous liée aux promesses électorales intenables du maire du Rayol-Canadel pour lui faire porter le chapeau de son replis honteux sur La Tessonnière. Avec une arrogance qui confine l’aveuglement, PEPONE veut bien jouer les TARTARINS, mais ça ne doit pas sortir du village !
Quant à la transparence, notre ami reporter n’a pas été très exigeant jusqu’à ce dernier coup de chaud. Annonce-t-il un changement ?


lundi 3 août 2015

LA TESSONNIERE, PEPONE SORT LES AEROFREINS

Plages du Rayol 1968

L’Association des Amis du Rayol-Canadel qui tenait son assemblée générale le 30 juillet avait eu la bonne idée d’inviter PEPONE pour qu’il leur expose ses projets pour La TESSONNIERE à propos de laquelle tant a été dit et écrit. 
Après une longue digression sur les petites fleurs et les « Cacarinettes* » qu’il convient de protéger avec le futur PLU, sous la pression amicale de la puissance invitante,  PEPONE est enfin entré dans le vif du sujet. 
« Ah, si on m’avait écouté ! » déplore notre TARTARIN qui s’arroge une place de premier plan dans l’histoire de la ZAC Empain. Il aurait été, à l’époque, mandaté pour jouer le « monsieur bon office » pour exiger du baron l’abandon de son projet de hameau sur la colline. Sauf que les rares survivants n’en ont aucun souvenir et qu’il n’existe nul écrit ou témoignage d’un rôle quelconque d’un monsieur PLENAT dans l’affaire. Ce dernier ne se fera connaitre que des années plus tard dans son combat éminent pour la sauvegarde du Vallon Courmes, en fait du fond de son jardin.  Mais, passons, c’est une habitude de l’individu de s’attribuer une place de choix dans les grands événements… Bientôt il vous expliquera qu’il a sauvé la Grèce et détruit le mur de Berlin.
Tout ça pour, comme tout le monde, regretter la situation présente, la « non-gestion de cette zone avec des propriétaires lésés et des routes défoncées ». 
Mais, rassurez-vous, la Mairie a un projet qu’elle tente de vendre à des investisseurs-promoteurs. Pour faire court : Il leur est proposé de racheter tous les terrains, puis « Je disperse, je ventile**»
Le haut de la zone est cédé au Conservatoire et les anciens propriétaires (les bons, pas ceux qui ont acheté à la bougie (sic) !) peuvent acquérir et construire. Il faut reconnaître que dans l’assemblée, la plupart des mines étaient dubitatives face à l’intelligence du raisonnement et à sa pertinence juridique. Et visiblement, il en va de même des candidats promoteurs qui ne se bousculent pas.
En tous les cas ce sera la proposition que fera PEPONE, sans grande illusion, au Préfet dans le cadre du PLU. Et si celui-ci refuse comme l’oblige l’arrêt du Conseil d’Etat ? Hé bien La Tessonnière restera une zone naturelle sur laquelle la Mairie « devra investir pour traiter les zones » bref agir en lieu et place des propriétaires. Et d’affirmer : « Nous ne nous attaquerons pas au Conseil d’Etat ». Il ne reste plus à ses bons amis et électeurs-propriétaires que les yeux pour pleurer, eux qui avaient tant misé sur le candidat providentiel.  
L’histoire retiendra que le 30 juillet les masques sont tombés. Au milieu d’un fatras de considérants sur l’état du milieu naturel et la dureté des temps, PEPONE a admis officiellement qu’il n’a pas de solution viable pour La Tessonnière, et qu’il n’en a jamais eu en dépit de ses promesses électorales. 

Jean BOUCHARD –Jérôme LECLERCQ –Bruno PILATO

*Coccinelles et divers petites bêtes, en provençal

**Michel Audiard – Les Tontons flingueurs (1963)

ENCORE UN 14 JUILLET SANS PEPONE


Pour la deuxième année consécutive, PEPONE a boycotté le 14 juillet. C’est Rantanplan qui a dû « se cogner » toutes les manifestations. Que le premier magistrat municipal soit délibérément absent de sa commune le jour de la fête nationale interroge un grand nombre de rayolais. Certains vont jusqu’à avancer qu’il aurait un problème avec la République… Nous n’irons certainement pas jusque-là. Disons seulement qu’il a un problème avec les convenances et les symboles attachés à sa charge. Dommage pour lui, le feu d’artifice était très réussi.

EGLISE DU RAYOL : TOUT A REFAIRE



Réunion le 28 juillet dernier à l’initiative des ARC pour faire le point sur l’église dont les travaux de rénovation extérieurs ont été arrêtés début 2014 quand on s’est aperçu qu’ils s’apparentaient plus à un massacre qu’à un embellissement et qu’ils s’affranchissaient allègrement des règles extrêmement strictes qui s’appliquent aux bâtiments qui jouxtent le PATEC. 
Ces travaux avaient été lancés par le collectif « Sauvons l’église du Rayol » avec le soutien de l’Evêché, sans déclaration préalable ni aucun permis que ce soit. A l’époque, faut-il le rappeler, PEPONE et ses amis, en pleine campagne électorale, avaient sévèrement critiqué l’intervention de Jean BOUCHARD qui s’interrogeait sur ces travaux « sauvages ». L’autre jour, il n’y avait aucun élu à cette réunion. La loi de 1905 n’interdit pourtant  pas de s’intéresser aux lieux de cultes, surtout quand ils représentent un intérêt patrimonial !

M. TISSOT, architecte spécialisé dans la restauration des bâtiments historiques, a fait part de son analyse. Il faut, a-t-il dit, enlever l’enduit qui a été projeté sur les pierres et reprendre la rénovation en respectant l’assemblage de pierres initial. Le recours à une entreprise spécialisée agréée par les Monuments historiques est incontournable. Le coût de ces travaux est évalué à 95000 euros. Actuellement, il ne reste sur les fonds collectés que 55000 euros. Une nouvelle souscription devra être lancée. Encore faudra-t-il que la rénovation de l’église soit décidée comme prioritaire par la commission diocésaine qui se réunira en septembre prochain, l’évêché étant détenteur des fonds collectés.