Réunion le 28 juillet dernier à l’initiative des ARC pour faire le point sur l’église dont les travaux de rénovation extérieurs ont été arrêtés début 2014 quand on s’est aperçu qu’ils s’apparentaient plus à un massacre qu’à un embellissement et qu’ils s’affranchissaient allègrement des règles extrêmement strictes qui s’appliquent aux bâtiments qui jouxtent le PATEC.
Ces travaux avaient été lancés par le collectif « Sauvons l’église du Rayol » avec le soutien de l’Evêché, sans déclaration préalable ni aucun permis que ce soit. A l’époque, faut-il le rappeler, PEPONE et ses amis, en pleine campagne électorale, avaient sévèrement critiqué l’intervention de Jean BOUCHARD qui s’interrogeait sur ces travaux « sauvages ». L’autre jour, il n’y avait aucun élu à cette réunion. La loi de 1905 n’interdit pourtant pas de s’intéresser aux lieux de cultes, surtout quand ils représentent un intérêt patrimonial !
M. TISSOT, architecte spécialisé dans la restauration des bâtiments historiques, a fait part de son analyse. Il faut, a-t-il dit, enlever l’enduit qui a été projeté sur les pierres et reprendre la rénovation en respectant l’assemblage de pierres initial. Le recours à une entreprise spécialisée agréée par les Monuments historiques est incontournable. Le coût de ces travaux est évalué à 95000 euros. Actuellement, il ne reste sur les fonds collectés que 55000 euros. Une nouvelle souscription devra être lancée. Encore faudra-t-il que la rénovation de l’église soit décidée comme prioritaire par la commission diocésaine qui se réunira en septembre prochain, l’évêché étant détenteur des fonds collectés.
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