samedi 18 novembre 2017

BON ANNIVERSAIRE GOODMORNING

Le 21 octobre GoodMorning Rayol fêtait ses 4 ans avec à son actif 67 éditions et 62.000 vues.
Dans une commune où règne le culte du secret, la politique de l’entre soi, où pétitionner se paie cash alors que ce n’est qu’un droit fondamental de démocratie participative et que "…On ne peut pas dans notre pays impunément mettre en cause la liberté de pensée, de s'exprimer et même de caricaturer…" (1er ministre "Questions au gouvernement" 7/11)
Goodmorning est aujourd’hui incontournable.
Contre la langue de bois, les magouilles et les amnésiques, Goodmorning Rayol reste le seul journal d’informations de la commune qui dissèque l’actualité  à partir de faits jamais démentis.
On lui doit, entre autres, d’avoir exposé au grand jour les zones d’ombre qui entourent le 1er cercle. Preuve est ainsi faite de sa pertinence même si quelques-uns en doutent encore.

QUAND L’HYPOCRISIE FLIRTE AVEC LE RIDICULE

Certaines figures rayolaises, et pas des moindres, bien connues pour leur sens de l’humour, nous ont demandé d’être retirées de notre liste de diffusion, alors que l’on peut y accéder simplement en allant sur le net sans y être invité. Amusant, non ?
Cela étant dit, le temps passe, de nouveaux lecteurs nous rejoignent et il est parfois difficile de comprendre le ‘’ Pourquoi du Comment’’ de certains évènements dont la genèse remonte à plusieurs années. 
Pour y remédier, nous signalons au lecteur les publications anciennes qui  font référence. Nous restons à la disposition de ceux qui souhaitent plus d’informations.

THE VOICE CRESCENDO

Jean Plenat gazouille tous les jours dans le poste. Très récemment, la saison 4 titrait ''Jean à la plage''

C'est du lourd, il s'agit du ''Projet de lutte contre l'érosion de la plage du Rayol'' (GM 2/4) Un sujet qui préoccupait déjà les élus dans les années 90 (VM 1/8/90) 

Le reportage nous apprend : 

1/ Que l'eau monte. Exact et sans être experts ceux qui ont connu le Rayol dans les années 50 peuvent confirmer.
2/Que par le réchauffement climatique et la montée de eaux, 50% du futur retrait du trait de côte sera dû à l'élévation du niveau marin.
A cet égard, dans un article paru dans le JDD (29/9/2013) Les experts du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sont formels, d’ici la fin du siècle le niveau de la mer s’élèvera. Un mètre de hausse avec  le scénario le plus noir. C’est ce qui fait dire aux entreprises interrogées, qu’en 2100 la plage du Rayol pourrait reculer de plus de 7m !

2100 ? Un  voyage dans le couloir du temps qui donne à certains l'espoir d'avoir un jour une villa pieds dans l'eau...

Quant aux 80 cm qui devrait disparaitre d'ici 2020, le doute laisse place à l'espoir.
2020, campagne électorale oblige, tout sera possible même de voir les rescapés de la Plénatie se produire dans un remake de la mascarade, frisant le burlesque ''Opération balle au bond'' (You tube 19/3/2014)
Ils auraient déjà le titre ''On racle le fond, on sauve la plage'' et une nouvelle promesse intenable '' Si les électeurs nous font (encore) confiance, demain le sable sera de retour !
Mais revenons à nos grains de sable.
Si la montée des eaux est inéluctable, il est évident que l'on ne peut rester sans rien faire, oui mais quoi et comment ?
C'est un problème complexe avec pour notre commune un budget prévisionnel conséquent de plus de1.5 M d'euros sans garantie de résultat (GM 2/4).
C'est aussi, un projet ambitieux qui, selon les sociétés mandatées, permettrait de gagner 10 m de plage et 60 cm d'épaisseur... ! On aimerait tant y croire.
Pour ce faire, plusieurs études nous sont présentées et si aujourd'hui il est impossible d'en tirer des conclusions, on regrette qu’elles ne soient axées que sur de grandes plages comme Cannes, Sète et Marseillan. En effet, une projection sur des plages en fond de crique comme au Rayol aurait été plus parlant.
Pas grand-chose non plus sur l’aspect technique du projet, du remplissage à la mise en place des Géotubes. Où, comment ?
On se souvient de l’impressionnante machinerie du chantier de la plage de Cavalière : On s’interroge sur sa faisabilité du fait de l’étroitesse de nos arrières plages etc.
Qu'importe, monsieur le maire est confiant : Les études sont toujours en cours et si le procédé du Géotude tient la corde, il n'est pas certain qu'il soit retenu...Au moment où je vous parle, je ne sais pas quand nous pourrons envisager les travaux (VM 27/7)

IL EST OÙ L’INTÉRÊT GÉNÉRAL, IL EST OÙ ?

Lors du dernier conseil municipal (CM 27/10-N°67) Jean Plenat a proposé d’acquérir 2 locaux de 25 m2 chacun, au 9 de l’avenue mistral (Montée vers l'église) pour la coquette somme de 165.000 € (Rénovation non comprise) soit 3.200 € du m2 ! 
Cerise sur le gâteau, il a laissé entendre qu’à ce jour il ne pouvait préciser à quoi ils seraient destinés !… Cette incertitude est peut-être la cause de l'abstention de la conseillère municipale Irène Allonson ... 

Nous n'avons pas été consultés. Dommage, on y verrait bien une boucherie végétarienne !

-165.000 €,  c'est ce qui permet de refaire un certain nombre d'avenues en piteux état.
-165.000 €, c’est surtout, selon un entrepreneur ayant une bonne connaissance du terrain, ce qu’il faudrait investir pour que la pharmacie ne soit plus inondée et donc pérennisée ! (GM 27/7)
En effet,  prétendre que le projet Aktimo 2 (Centre village- Terrain de la pharmacie) résoudra ce problème est une gageure.
 Il est probable qu’il puisse résoudre l’afflux des eaux de ruissellement de surface provenant du terrain en amont, mais qu’en sera –t-il pour les infiltrations de la masse rocheuse en sous-sol à laquelle la pharmacie est accolée sans aucune étanchéité, comme cela se faisait dans les années 30 ?
D’autre part, on ne peut passer sous silence l'effondrement de la RD559 (11/2010) aux pieds de la pharmacie où  il a été trouvé une nappe d'eau à 2 ou 3 mètres de profondeur juste en dessous de la chaussée (VM 7/4/11)
Au fait, le promoteur du projet Aktimo 2  a-t-il donné une garantie de résultat sur ce problème récurrent de la pharmacie ?

 MAIS A QUOI IL JOUE ?

Une question que beaucoup se pose aujourd’hui.
En effet, Jean Plenat a un curieux rapport avec la pharmacie. Après avoir activement participé aux 7 recours qui ont fait capoter le projet AKTIMO 1 au cœur du village, projet qui comportait un nouveau local pour l' officine…On ne peut croire qu'il présentait déjà l’inconcevable possibilité de la transférer dans un local appartenant à son 1er adjoint… !

Après avoir concocté le projet AKTIMO 2 pour s’acquitter de sa dette envers le promoteur, projet qui n’offre aucun garantie pour la pérennité de la pharmcie, voilà qu’aujourd’hui il entame un nouveau bras de fer avec Mme ORON, dont on admire la patience, pour une abracadabrantesque histoire de porte d’entrée qui ne fonctionne plus et que la mairie, propriétaire des lieux, ne veut pas prendre en charge sous prétexte que le bail ne lui en donnerait pas obligation ! Incroyable, mais vrai.

Nous sommes stupéfaits, pour ne pas dire outrés, qu’un maire puisse, quelles qu’en soient les raisons administratives, accepter de laisser un acteur de santé dans un local communal aussi délabré, aux plafonds décrépis, sujet à des inondations récurrentes etc.
Bref, pour pouvoir recevoir ses patients, car ce sont bien à 99 % des gens malades, la pharmacienne n’a pas d’autre choix que de faire de son bureau un sas d’accueil au milieu de cartons, ordinateurs et autres dossiers ! C’est inadmissible.
Nous ne connaissons pas le montant des réparations, mais à l’heure où le conseil municipal (Voir plus haut) décide de racheter des locaux pour 165.000 €, dont l’intérêt général est loin d’être prouvé… On aurait pu s’attendre à beaucoup mieux.  
 Que nenni ‘’Si elle veut faire arranger sa porte, elle n’a qu’à le faire elle-même… (Sic) auraient été les seules paroles de soutien de Jean Plenat… A croire qu’il n’a pas compris que le maintien de la pharmacie au Rayol est la pierre angulaire de la stabilité économique de la commune. Mais à quoi il joue ?
Affaire à suivre.

CACHEZ CE PANNEAU QUE JE NE SAURAIS VOIR




Décidément la commune a un problème de transparence. (Voir GM  20/10/16 ‘’Le fantôme de la Villa St Jean’’) On remet le couvert avec celui de la transformation de l’hôtel CENTRO (3/10) pour : 
-10 logements sociaux
- 1 local associatif ?
- 1 halte randonneurs.


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Difficile de percevoir un zeste d'humour chez les plénatistes, mais pour mettre un panneau de permis de construire dans une voie sans issue alors qu’il doit obligatoirement être vu de tous, ce n’est plus un gag, c’est prendre les gens pour des imbéciles. En revanche si c’est pour éviter un énième recours, c’est loupé. Le délai de recours, il court bien jusqu’au 2 décembre ?

Avec toutes ces cachotteries on s’attend toujours à une révélation du genre : Le corps de cette bâtisse serait l'ancienne gare de Pramousquier.
Dans ce cas, pourquoi ne pas lui redonner vie comme cela a été fait à Cavalière et à Cavalaire ? Sans modifier le fond du projet, elle pourrait abriter la salle associative et la halte randonneurs.
Quant aux 10 logements sociaux, on doit pouvoir leur trouver un meilleur emplacement, et surtout moins éloigné du centre village. Au fait, ce n’était pas le but d’Aktimo 1  ?
Bref, en remettant le bâtiment entre les mains de Var Habitat, office du conseil départemental du Var, les élus n’ont surement pas oublié que sur les 10 logements, la commune ne disposera que de 8 appartements pour les actifs du Rayol-Canadel... Les 2 autres seront réservés par l’Etat qui pourra les répartir, en fonction de ses besoins, à des familles hors commune (Code de la Construction et de l’Habitat article L 441)
In fine c'est une grande déception, car on aurait pu sortir un projet plus valorisant pour la commune qu'un HLM juste à l'entrée du bourg.
  
ON NOUS SIGNALE

Juste une toute petite réflexion sur le site de l’Association des Amis du Rayol-Canadel dans sa rubrique "Courriers des adhérents"
On regrette que ces personnes, qui y déposent des avis, soient si distraites qu’elles en oublient de signer…. Plus de transparence donnerait du crédit à cette rubrique qui pourrait être très intéressante si elle ne subissait pas la censure ! Dommage.

C’ÉTAIT HIER... ET POURQUOI PAS DEMAIN …?



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