samedi 31 octobre 2015

PEPONE SAIT LIRE MAIS SE GARDE BIEN D’ECRIRE

Conseil Municipal du 31 octobre 2015

Devant son public totalement acquis, soit sa dizaine de conseillers présents et la douzaine d’afficionados dans le public au premier rang duquel on retrouve l’inénarrable Maire 2 dont la célébrité s’étend bien au-delà de nos frontières communales ce qui nous vaut d’enregistrer de fidèle lecteurs jusqu‘en Moselle, PEPONE a démenti nos informations sur la révision des listes électorales. Et tout ce beau monde d’opiner du chef, le sourire aux lèvres, rassuré. Si le Chef le dit, c’est donc que c’est vrai et les autres ne sont que de vils menteurs!

Bien entendu, PEPONE, fidèle lecteur de GOOD MORNING RAYOL, réfute « en bloc et en détail » mais n’avance pas le moindre élément tangible à l’appui de son démenti. Pas plus qu’il n’en laisse un écrit. Et il a bien raison parce que des écrits, il y en a. Ils portent sa signature et ils indiquent le contraire de ce qu’il prétend. Si un seul conseiller municipal a un doute ou est un peu plus curieux que les autres, qu’il demande par exemple, le procès-verbal de la réunion de la Commission de révision du 28 septembre. On verra bien qui ment dans cette affaire.

A QUAND LA TRANSPARENCE ?

Que de reproches et de procès en sorcellerie avaient engagés PEPONE et ses amis contre l’ancienne municipalité sur son amateurisme, son incapacité à communiquer et même sa volonté de cacher les informations majeures à ses concitoyens ! Tous ces reproches n’étaient pas infondés. On aurait pu penser qu’avec la nouvelle équipe « rajeunie », « professionnalisée », « proactive », à l’image des jolis tracts électoraux dont elle nous abreuvait, le Rayol-Canadel deviendrait « la » référence en termes de communication et de consultation citoyenne. 
Aujourd’hui, les Rayolais et Canadéliens ne peuvent que déchanter. Qu’est-ce que vous avez lu, entendu, débattu sur les projets municipaux ? Rien ou si peu! Une réunion publique sur la présentation du PADD, deux ou trois documents sur le site de la Mairie qui mériteraient des commentaires, c’est tout. Et pourtant le maire s’apprête à dégainer le PLU, l’acte majeur dessinant le futur du Rayol-Canadel. Aurait-on quelque chose à cacher, prépare-t-on quelques mauvais coups pour la commune et certains de ses habitants, va-t-on servir des intérêts particuliers ? Il serait temps d’ouvrir le débat, à moins que cela fasse peur. Mais pourquoi ?

POUR ETRE CENSURE, IL FAUT COMMENCER PAR ECRIRE

Certains lecteurs nous reprochent d’exercer une censure ! Encore faudrait-il qu’ils nous adressent leurs commentaires et leurs observations. Rappelons que l’accès à Good Morning est totalement libre, il suffit de cliquer en bas de cet article sur « commentaire ». Certains l’ont fait et leurs textes sont toujours en ligne. La seule raison pour laquelle nous pourrions être amenés à supprimer un commentaire serait parce qu’il contreviendrait à la loi. Pour le reste, aiguisez vos crayons, nous attendons vos contributions…  Vas-y René !


 Jean BOUCHARD – Jérôme LECLERCQ – Bruno PILATO



mardi 13 octobre 2015

PÉPONE CORRIGE LES LISTES ELECTORALES ET SE PREND UNE FESSÉE

Notre « Lider maximo » s’était mis en tête, à quelques semaines de l’élection régionale, de nettoyer la liste électorale. Enlever toutes les personnes qui n’ont plus aucune raison d’y figurer puisqu’elles sont décédées, se sont inscrites ailleurs ou ont coupé définitivement tout lien avec la commune. Si au passage, quelques citoyens qui ne sont pas dans la ligne pouvaient passer à la trappe, ce serait toujours ça de gagné !  Ainsi il a présenté une liste de  trente-cinq radiations dont quelques-unes paraissaient pour le moins contestables.
Il faut savoir que les inscriptions et les radiations sont régies par des textes très précis. Avant toute prise de décision par la Commission de révision des listes électorales, la Mairie doit adresser un courrier recommandé informant l’électeur de son éventuelle radiation. Si le courrier est retourné à l’expéditeur ou demeure sans réponse, la radiation est possible, sinon l’électeur dispose de vingt-quatre heures pour défendre son dossier s’il souhaite continuer à voter dans la commune. La procédure, bien entendu, n’avait pas été respectée.
Le sujet est grave car radier un électeur c’est, de fait, lui ôter son droit de vote. Cela ne semble pas ébranler les certitudes de la responsable du service élection de la Mairie qui considère que la commune est si petite qu’elle est dispensée de l’application de ces textes. Quant à PEPONE, il n’en a cure. En plus, il avait décidé de clore la liste dès le 28 septembre alors que les inscriptions devaient être possible jusqu’au 30 inclus. Et à la question : si quelqu’un s’inscrit le 29, vous faites quoi? Il passera son tour pour cette fois et votera à la suivante rétorquait-il d’un ton péremptoire!  Devant l’attitude inflexible de ce grand théoricien de la démocratie, la représentante nommée par le Tribunal de Grande Instance a écrit au Préfet. La réponse ne s’est pas fait attendre. Une nouvelle réunion a dû se tenir en urgence et, toute honte bue, PEPONE a dû revoir sa copie et réinscrire quatre électeurs.
Mais là où on touche le fond, c‘est que se rendant compte qu’ils étaient dans une sale affaire, PEPONE et la responsable du service avaient tenté de sauver in extremis les apparences. Un courrier recommandé a donc été envoyé aux électeurs théoriquement disparus. Hélas pour PEPONE, pas tous. Nous ne résistons pas au plaisir de vous présenter une copie de la lettre transmise à l’une des victimes du tri sélectif électoral. Ainsi vous lirez que le 1er octobre, Jean PLENAT, Maire du Rayol-Canadel annonce à ce citoyen qu’il a fait l’objet d’une mesure de radiation, pour un motif indéterminé, par la commission réunie le 10 octobre et ce, alors que la liste a été close le 28 septembre. Chapeau l’artiste !



PHARMACIE, LE TEMPS DES BOUCS ÉMISSAIRES

Nos élus n’ont pas su gérer le dossier de la pharmacie et pourtant souvenez-vous, ils avaient promis de régler le problème en trois semaines… 18 mois après l’élection, rien n’a bougé et la pharmacienne se débat dans les difficultés. 
Et dire que si le projet « Cœur de village » n’avait pas été saboté par PEPONE et ses amis, il y aurait aujourd’hui une officine  flambant neuve et six ou sept familles auraient pris possession de leurs nouveaux logements. Hélas, on ne refait pas l’histoire mais l’hiver approche. Les premières  pluies ont rappelé que la pharmacie n’est pas étanche. En désespoir de cause, c’est aux voisins que l’on s’en prend maintenant les accusant de faire en sorte que toutes les eaux de pluie convergent vers l’officine… Ce serait risible si n’était en cause le maintien de la pharmacie dans le village. 
A quand une pétition des habitants pour faire revenir les Algeco pour pouvoir faire les travaux indispensables à la mise hors d’eau de l’officine ?

FAITES CE QUE JE DIS, PAS CE QUE JE FAIS

PEPONE ne cesse de dire qu’il faut accueillir de nouveaux habitants notamment pour maintenir les effectifs de l’école Lou Calen. Hélas, sa voix ne porte pas bien loin. Ainsi une de ses proches, conseillère municipale, mère d’un joli bambin, l’a enlevé de l’école communale, sans doute pas assez bien, pour l’inscrire dans la commune voisine. Son exemple a été suivi par une autre maman. Voilà deux petits qui font cruellement défaut alors que l’on dit que l’Inspection Académique s’inquièterait des effectifs en petite section.
Pour mémoire, sur les tracts électoraux, cette dame était présentée comme compétente sur les dossiers scolaires et culturels. Ça fait peur pour la suite.

LE ROUGE EST MIS, CA TOURNE !

Début octobre, HUGO GELIN met en scène OMAR SY  sur la plage du RAYOL-CANADEL, devant le Tropicana. Encore un bon coup de pub pour la commune, tout le monde s’en réjouit. 
Un détail n’a pas échappé au journaliste (Var Matin 3/10/2015) ’’Marcher dans les pas d’un maire a parfois du bon…C’est bel et bien l’édile du RAYOL-CANADEL, Jean PLENAT, qu’il fallait pister…’’  Exact, il  avait tout  fait pour passer inaperçu… 

                                                Var Matin 3/10/2015


Ravi mais un peu déçu tout de même. Il n’a pas été retenu pour le rôle de l’Auguste. Ce n’est pas faute d’avoir mis toutes les chances de son côté.  
Les mauvaises conditions météo obligent la production à revenir en mai 2016 pour une scène en mer. Une deuxième chance pour PEPONE ? allez savoir.  

UN SACRÉ DÉJEUNER

De quoi faire tomber le chapelet de Notre Dame du Rosaire. Des paroissiens ont été surpris ce mercredi 30 septembre à l’heure du déjeuner de voir la chapelle du Canadel transformée en réfectoire et le parvis en cuisine de campagne avec barbecues. C’était pour restaurer les personnels qui travaillaient sur le film d’Hugo GELIN – On se demande si tout cela était, quand même, bien catholique. 

FLASHBACK

Municipales 2014. Lettre N°1  du candidat PLENAT jean :
‘’Ouvrir la mairie et les services de la commune à tous, sortant ainsi la mairie de son isolement actuel‘’
Deux ans après cette belle promesse, aucune communication écrite, pas de Petit Journal et à partir du 15 octobre 2015 fermeture de la mairie du vendredi midi au lundi matin. 
Ce n’est plus de l’isolement, c’est carrément Fort Chabrol

CHAPEAU!

Réunir une centaine de personnes autour du repas du PATEC (27/9/2015) dans le climat  pour le moins délétère de la commune, mérite un grand coup de chapeau au Comité des fêtes.


ALLO, MAMAN, BOBO...


Certaines de nos têtes de turc favorites n’aiment pas les surnoms dont nous les avons gentiment affublés. Ils se plaignent en disant que ça ne se fait pas, que ce n’est pas gentil. Faut-il leur rafraîchir la mémoire ? Lorsqu’ils étaient dans l’opposition, les mêmes ne reculaient devant rien, s’en prenant au physique ou aux origines et maniaient facilement l’injure. Ainsi l’ancienne maire était comparée à « la Goulue qui faisait commerce de ses charmes », un conseiller municipal qualifié de « barde étoilé ! (allez savoir pourquoi ?) » ou Jean Bouchard sous la caricature de « Pinocchio » !
S’il s’avérait néanmoins que nous nous sommes trompés sur les traits de caractère de ces messieurs, nous sommes prêts à faire amende honorable et d’user de qualificatifs plus valorisant : «le d’Artagnan de la table à dessin,  le poète du béton, l’apôtre de la parallèle, le petit père des peuples, Le sheriff du vallon, le génie du PATEC, Droit au but, l’insolent le rebelle, etc, etc.

ON NOUS SIGNALE

La vitesse excessive de la traversée du village. Devant l’Hôtel de la Plage, il faut être courageux ou inconscient pour traverser la route, quant à l’Avenue du Capitaine THOREL, c’est une vraie piste olympique de descente.

Une belle villa serait en vente vallon COURMES. Pourvu que ce ne soit pas celle de PEPONE, il serait capable de se radier lui-même des listes électorales ! Sans doute, bien sûr, aucun lien avec le futur parking pour le Domaine du RAYOL prévu dans le bas du dit Vallon.

jeudi 24 septembre 2015

QUI ROULE POUR BOUKAROU ?

« On a rangé les vacances
dans des valises en carton
et c’est triste quand on pense à la saison… »*
Pas triste PEPONE, bien au contraire, lors de son conseil municipal de rentrée. Juillet août se sont super bien passés au Rayol-Canadel, surtout sur les plages ! Et le BOUKAROU BEACH, « ses petits protégés.» ont assuré ! « Rien à voir avec avant!» du temps du Grand Bleu. Maintenant, c’est la grande classe, de la joie et de la bonne humeur. 
Ce n’est pas l’avis de tous, notamment des clients. On a pu assister à une belle empoignade 2.0 sur TRIPADVISOR qui classe le BOUKAROU BEACH 10è/12 au palmarès des meilleurs établissements de restauration du Rayol-Canadel loin derrière L’Ancre d’or, l’Ecrin et Pizz’Olive respectivement premier, deuxième et troisième. Quant aux commentaires, une tuerie ! Enfin jusqu’au 15 août où, allez savoir pourquoi, d’un seul coup, sont apparus des commentaires élogieux à l’opposé de tout ce qui avait été écrit précédemment.

Petit florilège des avis de clients :
"Une catastrophe", "prix excessif vis à vis de la prestation...", "Resto de plage bof bof bof (en sachet", "Passez votre chemin...", Disappointing". 
Un certain Alex, le 11 août résume :"Petit-déj bon marché (6€ café jus d'orange et mini viennoiserie).Par contre le déjeuner est à éviter. Salade océane correcte mais sans plus (salade en sachet, croutons en sachets). Nems ultra frits. Et menu enfant pitoyable : 10€ pour une saucisse / haricots verts en boite tièdes et mal assaisonnés / chips en sachet (encore !) car il n'y avait plus de frites. » 
Il serait injuste de ne pas citer quelques commentaires élogieux qui sont tous à une ou deux exceptions près postérieurs au 15 août : « “Le Paradis à nos Pieds” écrit Franck P. le 19 septembre.
« Excellent ce Resto le Perso et la maitresse des lieux sont à l'écoute et aux petits soins pour sa clientèle, je ne comprends pas trop les mauvais avis et critiques que j’ai pu lire, peut-être la concurrence qui se fait des soucis ! ».

Les prix élevés semblent faire l'unanimité. Tous les clients que nous avons rencontrés les ont jugés excessifs. 
Rien d’exotique dans tout cela, juste une illustration de cette forte pensée d’une ministre dont chacun a oublié le nom : « Plus on s’approche de la mer, plus l’addition est salée ! »
Exotique, en revanche, est l’attribution par délibération du Conseil municipal du 12 juin (53/2015, consultable sur le site de la Mairie), pour une durée de deux ans et demi des locaux et de la terrasse libérés par LE GRAND BLEU à la SASU BOUKAROU BEACH. On y lit que cette décision est prise pour améliorer le service rendu et au beau milieu d’une phrase évoquant le stockage et l’entreposage du matériel de plage, il est glissé que c'est aussi pour permettre la restauration. Tout cela bien entendu sans appel d’offres ou consultation et après avoir viré sans ménagement l’exploitant précédent. Les mauvais coucheurs ou les bons juristes peuvent y voir quelque chose qui s'apparente au favoritisme.

TOUT RESTE AFFAIRES

  
Lors du même Conseil municipal de fin d’été, PEPONE s’est enfin résolu à communiquer sur les affaires judiciaires en cours. Il était temps. C’est une obligation dont il s’affranchissait allègrement (comme de beaucoup d’autres !) et son excellente avocate avait dû le mettre en garde sur les risques qu’il encourait, notamment au moment où quelques affaires vont se dénouer devant les tribunaux. 
Il a donc évoqué l’affaire des 72 euros réclamés à son prédécesseur. Pour récupérer cette créance la mairie a déjà engagé plus de 2000 euros d’honoraires (si l’on se fie au barème voté en CM le 18/4/2014). 
Osant tout, PEPONE s’en prend à nouveau à Madame COUMARIANOS. Comme dans la cour d’école, il s’écrit : « C’est elle qui a commencé ! ». Il oublie qu’il est à l’origine de cette affaire éditant le 1er avril 2014, soit deux jours après son élection, cette facture ahurissante. L’ancienne maire n’a fait que la contester, comme on peut le faire d’un PV de circulation, et en retour elle a reçu une plaidoirie de 12 pages adressée au Tribunal Administratif lui réclamant le paiement des 72 euros plus 2000 euros au titre de préjudice. Les contribuables apprécieront cette utilisation des deniers publics au profit d’une médiocre vengeance personnelle.
Le cabinet d’avocates doit tourner à plein, quelques 27 affaires seraient en cours…
 

MARIAGE GLAMOUR AU TROPICANA 





Une pleine page dans Var-Matin le 21 septembre, la quatrième de couverture consacrée au Rayol-Canadel, c’est suffisamment rare pour être salué. Grâce à la famille BLATGE qui maintient depuis 50 ans, haut et loin, la réputation du Tropicana, le rocker irlandais BOB GELDOF avait choisi notre commune et particulièrement cet établissement pour y célébrer son mariage avec l’actrice française JEANNE MARINE. Il est vrai que le couple connait bien le village puisqu’il y possède une villa. 
Parmi les invités, Demi MOORE, le milliardaire Richard BRANSON, la duchesse d’YORK Sarah FERGUSSON, le mannequin JERRY HALL et bien d’autres.
Tout le Conseil s’était mobilisé. Le bas du Canadel avait été placé en état de siège, interdit à la circulation.
Pour l’occasion PEPONE et son fidèle RANTANPLAN ont mouillé la chemise veillant personnellement à l’installation des barrières tout autour de l’église.
Quant à DD L’Anguille, si l’on en croit Var Matin (21/9/2015) publiant une photo ainsi légendée : « Bénédiction dans les jardins de la plage du TROPICANA »,  il semblait avoir troqué le tablier de restaurateur pour le costume de révérend. Quelle jolie coquille !



N’empêche que pendant ce temps PEPONE et RANTANPLAN réglaient la circulation sur le parvis de l’église du Canadel transformé en parking VIP. Au plus fort de la fête, celui-ci a accueilli jusqu’à 6 limousines ! Au lieu du Képi, PEPONE aurait dû garder sa casquette de capitaine. On ne lui avait pas dit, les invités venaient, pour la plupart, par la mer !

Selon les témoins privilégiés qui ont pu assister à la fête, tout s’est parfaitement bien passé. Nos élus semblent redécouvrir enfin, que le Tropicana est un élément essentiel d’attractivité pour notre commune. On n’oublie pas qu’au lendemain d’une noyade tragique au Rayol en juin (VM 12/6/2015), sous un prétexte incongru et dans un accès d'autorité, PEPONE a pris un arrêté de fermeture temporaire de la plage du TROPICANA…au Canadel ! Information publiée dans Var Matin (En préambule au CM du 12/6/2015- VM du 15/6/2015) avec les préjudices que cela pouvait entraîner pour cet établissement !

VOIE VERTE - ROUTE DU COL DU CANADEL

Les glissements de terrain suite aux fortes pluies de l’hiver ont rendu impraticables ces deux voies. Elles sont de la responsabilité du Conseil départemental mais le moins que l’on puisse dire est que PEPONE semble s’être contenté d’assurer la sécurité. Ce qui est bien dans un premier temps mais devient intenable sur le long terme.
Pour la voie verte, il tente d'engager la responsabilité des propriétaires du terrain qui surplombe la voie. Allant jusqu’à les sommer, par lettre recommandée, de remettre la voie verte en état sous 10 jours. Il ne manque pas d’air ! 
Quant au Col du Canadel, Il a fallu qu’une hôtelière bien connue du Canadel, qui subit un préjudice certain dans cette affaire, s’adresse au député pour qu’enfin par la voix de DD L’anguille (VM 5/8/2015) on apprenne que PEPONE se démenait matin, midi et soir pour sensibiliser son ami président du Conseil départemental à la question. On se demande bien pourquoi il ne l’a pas dit lui-même. C’est beau le dévouement DD ! 

 

ET LE CANADEL, IL COMPTE POUR DU BEURRE?




Tout le monde est sur le pont pour assurer le plus grand succès aux manifestations prochaines comme le déjeuner du dimanche 27 septembre au PATEC. Les Canadéliens ont failli s’étrangler quand on leur a proposé d’apposer les affiches sur leurs vitrines. Le texte de l’invitation est ainsi rédigé : « Une grande fête réunit tous les rayolais pour célébrer la fin de l’été… ». Et nous, s'interrogent-ils, on sent le pâté?


 

ON NOUS SIGNALE 

Deux secteurs au Canadel peu visités cet été par les services communaux de nettoyage.  La place de l’église du Canadel et le PARKING CANADELIA. Les riverains ont dû se mobiliser à l’aide de leurs propres outils pour effectuer le travail.


* Chanson La madrague. Brigitte Bardot




mardi 4 août 2015

LE COUP DE GUEULE DE VAR-MATIN

Et pan sur le bec. Pas content le journaliste du quotidien local. Il a été éconduit par PEPONE de la réunion des ARC et se demande bien pourquoi. Imaginez pourtant l’effet ; le Préfet, au lendemain de cette réunion, découvrant dans son quotidien de référence la stratégie à trois sous liée aux promesses électorales intenables du maire du Rayol-Canadel pour lui faire porter le chapeau de son replis honteux sur La Tessonnière. Avec une arrogance qui confine l’aveuglement, PEPONE veut bien jouer les TARTARINS, mais ça ne doit pas sortir du village !
Quant à la transparence, notre ami reporter n’a pas été très exigeant jusqu’à ce dernier coup de chaud. Annonce-t-il un changement ?


lundi 3 août 2015

LA TESSONNIERE, PEPONE SORT LES AEROFREINS

Plages du Rayol 1968

L’Association des Amis du Rayol-Canadel qui tenait son assemblée générale le 30 juillet avait eu la bonne idée d’inviter PEPONE pour qu’il leur expose ses projets pour La TESSONNIERE à propos de laquelle tant a été dit et écrit. 
Après une longue digression sur les petites fleurs et les « Cacarinettes* » qu’il convient de protéger avec le futur PLU, sous la pression amicale de la puissance invitante,  PEPONE est enfin entré dans le vif du sujet. 
« Ah, si on m’avait écouté ! » déplore notre TARTARIN qui s’arroge une place de premier plan dans l’histoire de la ZAC Empain. Il aurait été, à l’époque, mandaté pour jouer le « monsieur bon office » pour exiger du baron l’abandon de son projet de hameau sur la colline. Sauf que les rares survivants n’en ont aucun souvenir et qu’il n’existe nul écrit ou témoignage d’un rôle quelconque d’un monsieur PLENAT dans l’affaire. Ce dernier ne se fera connaitre que des années plus tard dans son combat éminent pour la sauvegarde du Vallon Courmes, en fait du fond de son jardin.  Mais, passons, c’est une habitude de l’individu de s’attribuer une place de choix dans les grands événements… Bientôt il vous expliquera qu’il a sauvé la Grèce et détruit le mur de Berlin.
Tout ça pour, comme tout le monde, regretter la situation présente, la « non-gestion de cette zone avec des propriétaires lésés et des routes défoncées ». 
Mais, rassurez-vous, la Mairie a un projet qu’elle tente de vendre à des investisseurs-promoteurs. Pour faire court : Il leur est proposé de racheter tous les terrains, puis « Je disperse, je ventile**»
Le haut de la zone est cédé au Conservatoire et les anciens propriétaires (les bons, pas ceux qui ont acheté à la bougie (sic) !) peuvent acquérir et construire. Il faut reconnaître que dans l’assemblée, la plupart des mines étaient dubitatives face à l’intelligence du raisonnement et à sa pertinence juridique. Et visiblement, il en va de même des candidats promoteurs qui ne se bousculent pas.
En tous les cas ce sera la proposition que fera PEPONE, sans grande illusion, au Préfet dans le cadre du PLU. Et si celui-ci refuse comme l’oblige l’arrêt du Conseil d’Etat ? Hé bien La Tessonnière restera une zone naturelle sur laquelle la Mairie « devra investir pour traiter les zones » bref agir en lieu et place des propriétaires. Et d’affirmer : « Nous ne nous attaquerons pas au Conseil d’Etat ». Il ne reste plus à ses bons amis et électeurs-propriétaires que les yeux pour pleurer, eux qui avaient tant misé sur le candidat providentiel.  
L’histoire retiendra que le 30 juillet les masques sont tombés. Au milieu d’un fatras de considérants sur l’état du milieu naturel et la dureté des temps, PEPONE a admis officiellement qu’il n’a pas de solution viable pour La Tessonnière, et qu’il n’en a jamais eu en dépit de ses promesses électorales. 

Jean BOUCHARD –Jérôme LECLERCQ –Bruno PILATO

*Coccinelles et divers petites bêtes, en provençal

**Michel Audiard – Les Tontons flingueurs (1963)

ENCORE UN 14 JUILLET SANS PEPONE


Pour la deuxième année consécutive, PEPONE a boycotté le 14 juillet. C’est Rantanplan qui a dû « se cogner » toutes les manifestations. Que le premier magistrat municipal soit délibérément absent de sa commune le jour de la fête nationale interroge un grand nombre de rayolais. Certains vont jusqu’à avancer qu’il aurait un problème avec la République… Nous n’irons certainement pas jusque-là. Disons seulement qu’il a un problème avec les convenances et les symboles attachés à sa charge. Dommage pour lui, le feu d’artifice était très réussi.

EGLISE DU RAYOL : TOUT A REFAIRE



Réunion le 28 juillet dernier à l’initiative des ARC pour faire le point sur l’église dont les travaux de rénovation extérieurs ont été arrêtés début 2014 quand on s’est aperçu qu’ils s’apparentaient plus à un massacre qu’à un embellissement et qu’ils s’affranchissaient allègrement des règles extrêmement strictes qui s’appliquent aux bâtiments qui jouxtent le PATEC. 
Ces travaux avaient été lancés par le collectif « Sauvons l’église du Rayol » avec le soutien de l’Evêché, sans déclaration préalable ni aucun permis que ce soit. A l’époque, faut-il le rappeler, PEPONE et ses amis, en pleine campagne électorale, avaient sévèrement critiqué l’intervention de Jean BOUCHARD qui s’interrogeait sur ces travaux « sauvages ». L’autre jour, il n’y avait aucun élu à cette réunion. La loi de 1905 n’interdit pourtant  pas de s’intéresser aux lieux de cultes, surtout quand ils représentent un intérêt patrimonial !

M. TISSOT, architecte spécialisé dans la restauration des bâtiments historiques, a fait part de son analyse. Il faut, a-t-il dit, enlever l’enduit qui a été projeté sur les pierres et reprendre la rénovation en respectant l’assemblage de pierres initial. Le recours à une entreprise spécialisée agréée par les Monuments historiques est incontournable. Le coût de ces travaux est évalué à 95000 euros. Actuellement, il ne reste sur les fonds collectés que 55000 euros. Une nouvelle souscription devra être lancée. Encore faudra-t-il que la rénovation de l’église soit décidée comme prioritaire par la commission diocésaine qui se réunira en septembre prochain, l’évêché étant détenteur des fonds collectés.

lundi 13 juillet 2015

" AU MAGE "

  

Cérémonie émouvante jeudi 9 juillet en mémoire de l’ancien maire du Rayol-Canadel Etienne GOLA. La famille était réunie au complet. On regrettait toutefois l’absence de plusieurs conseillers municipaux et des élus du Golfe qui n’avaient sans doute pas mesuré le caractère exceptionnel de la manifestation. Heureusement le chroniqueur de notre journal préféré n’aurait pour rien au monde raté l’événement. Il a le sens du scoop et de l’histoire ce qui nous vaut une belle page avec photos et envolées lyriques.

Il est un point que personne ne contestera, Etienne GOLA a marqué profondément la commune de son empreinte. PEPONE qui parle d’or avec des trémolos dans la voix souligne : « une longue liste qui pourrait aisément s’allonger tant son action au sein de la commune aurait été permanente et passionnée ». Certains glissent méchamment : « Et heureusement qu’on l’a arrêté. Pour une empreinte c’est une empreinte, ça aurait pu être beaucoup plus grave!».

Etienne GOLA, c’était un de ces jeunes résistants varois qui ont si bien préparé le terrain pour le débarquement allié du 15 août 1944. L’un des créateurs du Rayol-Canadel. Un mandat de 36 ans. On lui doit l’école Lou Calen et les HLM « Paulette GOLA ». Voilà pour la face « lumière » de son action. Mais il y a hélas la face grise de l’élu :
Le lancement d’un projet de bétonnage du Domaine Potez, futur Domaine du RAYOL. 10.000m2 de plancher agrémentés de 450 places de parking à 100 mètres de la mer. 
Ou cette idée de transformer le Petit Port du Canadel en un port de plaisance comme à Cavalaire ou au Lavandou. 
Et bien sûr le désastre de la TESSONNIERE. Le grand homme, le visionnaire rêvait à un « deuxième » village sur la colline. 

On peut citer aussi Le permis du BAILLI DE SUFFREN et son imposante laideur en lieu et place du coquet hôtel de la Réserve et le vote lors du Conseil municipal du 17 /01/1980 d’une délibération autorisant LE REJET EN MER SANS TRAITEMENT des eaux usées de la commune dans la baie de Cavalière pour faciliter les opérations immobilières. Ca n’empêche pas l’ancien conseiller général du canton de s’exclamer : « Tout était grand chez lui, l’élu, le citoyen et l’homme de la nature (sic)». Fallait oser !
« Un homme à qui l’on doit beaucoup et en particulier le cadre de vie et la beauté de la commune »
s’enflamme PEPONE qui semble vouloir perpétrer son œuvre aujourd’hui, prêt à son tour à délivrer moult permis de construire sur La TESSONNIERE au mépris du droit.

Reconnaissons que sur un point PEPONE bat Etienne GOLA. Ce dernier n’aurait jamais eu l’idée saugrenue d’engager une procédure à l’encontre d’un maire sortant, avec l’argent du contribuable, pour une hypothétique facture de 72 € de photocopies. Il avait le sens du ridicule. 

Et comme on n’est pas chien et qu’on sait partager les bonnes idées, on suggère pour la postérité et la mémoire de PEPONE de donner (quand le temps sera venu) le nom de Jean PLENAT à un imaginaire passage public. Il y serait inscrit : 

Impasse Jean PLENAT
Maire du Rayol-Canadel 2014-20..  
Humoriste français.

Jean BOUCHARD - Jérôme LECLERCQ - Bruno PILATO