C’est comme ça que Var Matin (11/04/16) qualifie le nouveau projet de construction sur le terrain de la pharmacie dont les 80 % vont être affectés à la réalisation de deux petits immeubles pour un total de 10 logements. Voilà donc définitivement abandonnée l’idée de construire des logements pour actifs sur cette parcelle dont le premier projet remonte à plus de 15 ans. Il était alors porté au Conseil municipal par M. Jean Mansiaux. Jean Plénat s’était engagé en 2014 à faire un programme social à cet endroit « mais plus intelligemment » que l’équipe de Mme Coumarianos qualifiée « équipe d’amateurs ». L’objectif affiché de Jean PLENAT pendant la campagne était de : « construire en arrière – plan (de la pharmacie) une résidence de 10 logements pour les actifs de la commune. Conserver la propriété du foncier, proposer un bail à construction pour récupérer à terme la propriété de l’immobilier ». On voit le résultat. Sa décision précipitée d’avril 2014 exposait la commune à un risque financier considérable, 600000 euros, il se voit donc contraint d’accepter un projet immobilier dont seront écartés les actuels et futurs actifs du village.
Plaquette de campagne de Jean Plénat
Se souvenant qu’elle avait porté cette partie « logement » du programme électoral, Muriel Muller, 3ème adjointe, s’est abstenue. Ne pas dire avec enthousiasme « oui, chef », c’est déjà un acte de rébellion ! Son comparse Charles-Henri Vernalde, 4ème adjoint, corédacteur du programme, dont le logement social n’est pas qu’un attribut mais son métier, n’a pas moufté.
Après avoir été instrumentalisée pendant la campagne électorale, avoir subi le chantier de reconstruction de la route, vu abandonnés les travaux d’étanchéité de son officine, la pharmacienne voit se profiler un autre enfer ; le passage des engins de construction à quelques mètres de sa porte. De quoi lui donner le cafard. On la comprend.
L’envoyé spécial de Var-Matin perd ses nerfs
L’envoyé spécial permanent de Var-Matin auprès du maire du Rayol-Canadel était rouge de colère vendredi soir. Fidèle lecteur de Good Morning, il n’a pas apprécié la petite leçon de rigueur que nous lui avons infligé dernièrement, à juste titre. Il a menacé et agressé, verbalement, tous ceux ce qui pouvaient être apparentés à l’opposition. Il s’en est fallu de peu que Jean Bouchard en fasse physiquement les frais. Il n’a été épargné « d’un poing dans la gueule », selon l’échotier, que grâce à un léger handicap passager. Concernant la signature de l’article sur le dernier conseil municipal qui n’était pas la sienne, Il a plaidé une erreur du journal. A sa place, c’était tellement nul qu’on aurait laissé le confrère porter le chapeau.
Au fait ! Rien dans Var Matin sur la condamnation à 3.000 € d'amendes du bras droit de campagne de Jean PLENAT et secrétaire général de l'ADRER, Richard Kondolff, pour injures publiques envers une élue, ce n’est sans doute pas une information. Sûr, en revanche, qu’une vieille dame mordue par un chien aurait justifié un articulet dans notre quotidien favori.
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