dimanche 8 février 2015

DESINTOX

PEPONE ENFUME LES ASSOCIATIONS


PEPONE n’est pas du genre à communiquer facilement. Remercions les Amis du RAYOL-CANADEL de transmettre la bonne parole et d’informer le public sur les affaires communales. Rendez-vous à l’adresse http://www.amisdurayolcanadel.com/CRASSOC_27_janvier_2015.pdf, vous pourrez y lire le compte rendu de la rencontre du maire avec les associations du village, et ce n’est pas triste ! 
Retour sur les principaux sujets :

La pharmacie

Vous y apprendrez donc que pour la pharmacie, on n’est pas sorti de l’auberge. Cela va prendre au moins 4 ou 5 ans avant que le bâtiment soit rénové. En attendant l’officine devrait être installée dans des locaux à côté de la boulangerie. Encore faudrait-il que la pharmacienne soit d’accord, et là ce n’est pas gagné. Celui qui il y a un an à peine traitait ses prédécesseurs d’amateurs passe aujourd’hui pour un petit bricoleur ou un tartuffe ou les deux à la fois. A vous de choisir. Pour une affaire qu’il se promettait de régler en 3 semaines !

Le Médecin et l’infirmière

L’idée d’avoir un médecin à l’année s’éloigne. Il y a trois mois, il y avait, nous disait-on (CM du 14/11/2014) pléthore de candidats à la succession du Dr LORIOT, aujourd’hui il en reste deux dont un (sic). En fait, est-il écrit, nous aurons peut-être un médecin remplaçant pendant l’été. Quel aveu d’échec ! Tout cela pour avoir voulu imposer aux acteurs locaux une infirmière sortie de nulle part (en tous cas pas de la poche de Mme Allanson est-il précisé). L’infirmière qui travaille désormais à Cavalaire se plaint aujourd’hui d’avoir été mal reçue par les Rayolais. Tout cela n’empêche pas le maire de continuer à promouvoir son Centre médical. Aujourd’hui les locaux sont vides. Dans la précipitation la commune a évincé les anciens locataires du Bastidon pour 30 000 euros ! Le quart des crédits alloués annuellement aux associations, Office du Tourisme compris !

L’Eglise

Heureusement que Jean BOUCHARD existe, sinon il faudrait l’inventer. C’est lui prêter beaucoup d’influence et de pouvoir que de lui imputer l’arrêt des travaux. Il s’est juste étonné par courrier de la manière dont les travaux étaient engagés, de l’absence de panneaux d’information et de l’utilisation des fonds recueillis par la souscription publique à laquelle il avait contribué. L’amateurisme avec laquelle cette affaire était menée avait simplement conduit le maire à tout arrêter (Lettre service urbanisme du 29/4/2014)

Le chenil

Le rédacteur du compte rendu écrit : « Jean Bouchard s’est plaint auprès de Mme Ségolène Royal qui a envoyé un inspecteur chevronné, lequel s’est rendu sur place avec le Maire, et « n’aurait rien trouvé d’anormal et fait son rapport au procureur ». Du pur PEPONE. Si l’inspecteur « ne trouve rien d’anormal » Pourquoi la DDTTM (lettre du 22/12/2014 adressée à jean BOUCHARD) précise : Suite à visite sur place, une procédure contentieuse au titre du code de l’urbanisme a été engagée à l’encontre de la commune, propriétaire du terrain sur lequel le chenil est édifié…. ? Curieux, non ?

Les affaires judiciaires

Contrairement à ce qui est écrit Madame COUMARIANOS n’a pas remboursé « les photocopies », 72 euros, puisqu’aujourd’hui elle doit faire face à une action lancée par le maire devant le Tribunal administratif. Un mémoire d’une douzaine de pages pour lui réclamer le remboursement de 72 euros auxquels il faudrait ajouter deux milles euros pour avoir contesté cette facture et refusé de la payer.
Quant à « Douce France », la mairie a été déboutée non pas parce qu’il y n’y avait pas d’urgence mais parce que le maire n’avait pas reçu mandat du Conseil municipal pour agir. Il est vrai que les Juges ont aussi signalé que de toutes manières il n’y avait pas urgence et donc qu’il fallait qu’il aille voir ailleurs, au TGI, ce qu’il s’est empressé de faire. Quant à  M. LOTIGIE, tout droit sorti de son chapeau, en guise de plainte, il s’est simplement épanché auprès de PEPONE qui a trouvé là motif à un beau combat viril contre les méchants Benvenuti. 

Ensablement

Nous ne pouvons que souscrire à ce qui est écrit, c’est ce que nous n’avons cessé de dire durant la campagne électorale à l’exception du dernier point qui est une sorte de bras d’honneur aux gogos qui croyaient aux promesses. En français, cela veut dire : «  Et si finalement on obtenait toutes ces autorisations, de toutes manières on n’a pas l’argent, donc on ne fera pas ! ».

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