dimanche 7 décembre 2014

DEPART DU MEDECIN, LA LETTRE !

Les vraies « raisons personnelles » du départ du médecin exposées dans sa lettre que nous publions ne sont pas tout à fait celles avancées par les élus.
D’ici à ce que la Pharmacienne soit contrainte de tirer le rideau, 2014 aura été une grande année pour  notre PEPONE et ses petits camarades. 
Faute d’espérer que son nom soit donné à une rue du RAYOL-CANADEL, il a d’ores et déjà le César du « plus grand commun diviseur » que la commune n’ait jamais connu.

Quant à la «copine infirmière» qui n’avait surement pas pressenti ni voulu tout ce ramdam, elle arrive  « du plat pays » pour celui « de l’embrouille et des coups fourrés » sans prescripteur ni connaissance du microcosme. On ne peut que s’inquiéter pour son avenir au RAYOL-CANADEL.


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2 commentaires:

  1. Quelle vision bien simpliste !!!!!!
    Il y aurait les « méchants » et les « gentils » ,et la petite pharmacienne prête à croire tout ce qu’on lui raconte …
    Ceux qui voulaient casser la pharmacie ( appelés par eux- même « méchants » dans le texte) voulaient lui « en offrir une toute nouvelle dans un immeuble flambant neuf »…mais je comprends pas alors ………eux,en fait c’est pas les « méchants », c’est les « gentils » !!! Quelle est bête cette petite pharmacienne !!!!!
    Assez plaisanté…
    Je n’ai jamais eu de garantie et de sécurité de pouvoir intégrer ce fameux local tout neuf après mon séjour de 2 ans minimum dans les ALGECO…..Et pour cause , dans le projet Cœur de village mon futur propriétaire n’était plus la mairie , mais le promoteur immobilier que je n’ai jamais vu. !!!
    Il est nécessaire toutefois de rappeler les faits…
    Les ALGECO ont été installés sans que j’en sois informée. Mme COUMARIANOS ( maire à l’époque) avait elle seule fait le dossier de demande de transfert aux ARS alors qu’il n’appartient qu’au pharmacien et à lui seul de faire cette demande…
    Une fois ce bâtiment modulaire en place, et devant l’urgence de voir la pharmacie déménager avant les élections, Mme Coumarianos m’a fait une sommation par voie d’huissier pour que je puisse « prendre immédiatement possession des locaux modulaires installés » car « l’exercice professionnel dans les locaux s’avère désormais critique » dit –elle.
    Alors , difficile de trouver un accord avec la mairie avant les élections dans ces conditions , ne pensez-vous pas ?
    Enfin, dernière chose… Je n’ai jamais « affiché ouvertement ma préférence pour PLENAT », comme il est écrit,… je m’en suis bien gardée, ni pour la liste de Mr Plénat , ni pour celle de Mr Bouchard d’ailleurs…pour la bonne raison que je ne vote pas au Rayol…

    Ce que je souhaite , c’est que tout ce beau monde (de tout bord) qui déploie une énergie folle pour régler ses compte, utilise enfin son dynamisme à sortir le Rayol de l’asphyxie…
    Il ne reste plus qu’aux habitants du Rayol- Canadel à espérer que toutes belles têtes pensantes cessent leurs querelles de clocher et travaillent ensemble pour l’avenir de notre village.


    Cécile ORHON- Pharmacienne au Rayol

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  2. Chère Madame Orhon,
    Soyez assurée que nous ne vous tenons pas pour une imbécile, loin de nous cette idée, pour autant, ne nous prenez pas pour des poulets de trois semaines ou des poissons rouges ! Le fait de ne pas être électeur n’empêche pas de participer au débat électoral et d’y prendre une part active surtout si l’on est un acteur majeur. C’est la démocratie et vous avez su en faire usage. Si votre mémoire vous fait défaut, nous pourrons vous rappeler quelques faits et événements. Jean Bouchard avait pris devant vous des engagements. C’est le seul qui vous ait fait visiter l’Algeco pour avoir votre avis et pris note de vos remarques. Vous avez préféré les promesses de Jean Plénat. Qu’aujourd’hui vous soyez dans l’embarras, c’est une évidence. On pourrait vous dire hélas : on vous avait prévenu!
    Pour le reste, vos propos sur l’opportunité et la manière qui ont présidé à l’installation des Algeco ne sont que la confirmation de ce que nous avons écrit. Au lieu de lancer un appel à l’unité de tous pour l’avenir du village, ce que refuse Jean Plénat de toutes ses forces, demandez-lui simplement de consacrer son énergie à régler les problèmes, comme il s’y était engagé, plutôt que des comptes personnels.
    Good Morning Rayol

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