Jean Plénat, très préoccupé de lui-même, écrit peu mais parle beaucoup et aime se mettre en scène.
Après avoir fait la première de "the Voice", le voici en vedette américaine sur la chaine TV Azur+ Var qui aurait pour but d’apporter une meilleure compréhension sur les décisions du conseil, nous dit-on ! Un gros chantier…
En matière de bonne compréhension, l’épisode 2 est bien loin de convaincre : Un festival de contre-vérités pour ne pas dire de mensonges.
Au hasard : L’hilarant sketch "Aktimo raconté aux enfants";
Les 11 emplois de la Villa Douce attribués à des locaux … ! Un peu d’oxygène, monsieur le maire ?
En revanche, rien sur la déferlante de procédures contre le PLU ; rien sur la possible renaissance des tennis etc.
Pommade à l’appui, l’affable journaliste a benoitement gobé son discours sans s’intéresser à l’envers du décor. Dommage !
Bref, "Tout va bien madame la marquise" résume ces 2 premiers entretiens. On est heureux de l’apprendre.
Seul semble être crédible la prochaine réfection de l’avenue Reine Jeanne et l’échec d’un projet de protocole d’accord entre l’AARC (Association des Amis du Rayol-Canadel) et la mairie, un fumeux compromis pour que l’association puisse se désister de son action contre le permis AKTIMO 2 …
Une démarche surprenante mais intéressante qui aurait pu avoir un sens si le Président TARDY n’avait pas réduit à néant tout espoir de légitimité (GM 1/8)
C’est un sérieux camouflet pour les adhérents AARC qui devront maintenant s’habituer à se voir signifier une fin de non-recevoir pour défaut de droit à agir pour toutes actions et décisions que le bureau serait amené à prendre en leurs noms. Vous avez dit gâchis ?
JE T’AIME, MOI NON PLUS
Conseil communautaire houleux le 27 septembre dernier sur un désaccord de transfert de charges communautaires (VM 28/9) entre le maire du Rayol et celui de la Mole.
Raymond Cazaubon, maire de la Môle, qui lui n’a que faire d’un donneur de leçons, n’a pas apprécié le ton de l’édile rayolais : « Je n’aime pas le ton professoral de Jean Plénat… » A-t-il lâché avant de quitter la salle. Un commentaire, peut-être ?
CONSEIL MUNICIPAL OU MONOPOLY ?
Ce fût encore le cas lors du dernier conseil du 15 septembre.
Gérer le foncier c’est une chose, mais vendre les meubles avec une telle frénésie paroxystique, c’est de l’addiction.
Paradoxe de l’affaire : Si leurs prédécesseurs n’avaient pas eu le respect du patrimoine communal, les élus n‘auraient pas pu, par exemple, envisager le projet pharaonique des arrière-plages du Rayol … !
Il est maintenant à craindre que seul l’épuisement du fond patrimonial arrêtera la partie.
En effet, au menu de ce 15 septembre, ce fût à nouveau la valse des acquisitions d’emplacements réservés :
"Le 21 ? Je prends à 5.400 € ; le 26 ? Je prends, pour 13.912 € ? Le 29 ? Je prends pour 2.400 € ; la parcelle le long de la voie verte ? Je vends…" etc. Ce n’était plus un conseil municipal, mais une soirée Monopoly ! Et tout ça pour bétonner toujours plus.
Il a été aussi question du parking du Conservatoire du Littoral sur la parcelle prise en sandwich entre la voie verte et l’avenue Courmes, mitoyenne de la maison CAVALLO, au-dessus du Domaine du Rayol,
On regrette que son accès, grain de sable du projet, ne fût pas à l’ordre du jour.
Petite rétrospective : Dans les années 90, le très vindicatif président de l’association APVC –Association pour la protection du Vallon Courmes – Un certain Jean Plénat, fâché tout rouge, était prêt (Lettre 26/8/92 à la DDE) à porter ‘’Devant les autorités compétentes toute modification qui entraînerait l’utilisation ‘’Du chemin de fer’’ (SIC)… Hélas, sa menace fit rapidement pschitt et ce ne sont pas les promeneurs ou les riverains qui diront le contraire.
Alors, va-t-on légaliser la circulation automobile sur la voie verte ?
Vous le saurez dans les prochains épisodes de ‘’La Plénatie, c’est béton’’ sur TV Azur+ !
QUE SERAIS-JE SANS TOI
C’est ainsi que l’on peut résumer la longue déclaration de Jean Plénat à l’encontre de son ami Yves Gola, tout feu, tout flamme lors de la fermeture des travaux du conseil municipal du 15 septembre.
A coups de brosse à reluire, il s’est lancé dans un vertigineux exercice de cirage de pompes. On a frôlé la sarkozienne ‘’Avec Yves, c’est du sérieux’’…
A croire que le retour de la famille Gola sur le devant de la scène, oblige le 1er magistrat à mettre tout en œuvre pour ne pas perdre la main… !
DES ARÔMES AUX SENTEURS DE BÉTON
On rentre dans le dur aux Arômes. Le triumvir au sommet du conseil frétille de la narine et ouvre le dossier en expropriation sur 350M2 (ER N°3) aux mas du Canadel, pour accéder à la zone.
Pour le reste :
1/CITADIA Conseil (Consultant en urbanisme) serait mandaté
2/L’Etat se serait désengagé au motif que l’opération ne serait pas rentable !
3/La mairie prendrait le relai et proposerait environ 420.000 € pour les 3.5 hectares de la partie basse, soit à la louche 28 € /m2 !
On ne peut aujourd’hui affirmer que les propriétaires ont accepté la petite obole…
4/On parle de 2 immeubles en R+1 ; une partie en HLM et une autre en accession aidée, réglementée ou à prix maîtrisé.
5/La partie haute serait couverte par un EPF (Etablissement public foncier) ?! Elle recevrait des maisons accessibles aux actifs…
Avec cette ‘’Folie des grandeurs’’ nos élus rouvrent dangereusement la vanne aux promoteurs avec toutes les conséquences qui en découlent.
DU PUR HASARD ?
Que croyez-vous qu’il arriva après que GoodmorningRayol (01/8) a soulevé l’état catastrophique de l’avenue communément appelée "Paris-Dakar" au droit de l’avenue de la Méditerranée au Canadel ?
Rien de plus logique, l’avenue "Paris-Dakar" a rapidement reçu un nouveau revêtement bitumineux … Rien que du hasard ? On veut bien le croire !
VILLA DOUCE : RIVERAINS RASSURÉS – FORCE EST A LA LOI ?
Une bonne nouvelle pour les riverains de la Villa Douce : La galère de cet été (GM 15/09) ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir. C’est tout au moins ce qu’affirme le service d’urbanisme.
Ainsi donc, le chantier des parkings (30 places- En contrebas de la piscine) démarrerait au mois de novembre…A suivre.
Sans vouloir enfoncer le clou, on se demande toujours comment une telle structure a pu ouvrir sans que le permis ne soit respecté ?
Certes, le propriétaire est 2e adjoint, ce qui peut faciliter les choses, mais à ce point ce serait un passe-droit ou tout au moins l’apparence de conflit d’intérêts.
Connaissant la probité de notre maire et son impartialité à l’égard de ses administrés, cette éventualité est évidemment impensable… !
C’ÉTAIT HIER
Plan d'implantation des immeubles (1978) par la "SCI Terrasse de la mer" avec l’aval du maire Etienne GOLA, sur l’ex propriété POTEZ aujourd’hui domaine du Rayol.
C'est ce qui a dû motiver nos élus pour donner à la plus grande avenue de la commune le nom de cet illustre maire. No comment !
Cliquer sur la photo pour l' agrandir
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