samedi 31 mars 2018

HONTE À VOUS !



Le tribunal vient d'ordonner le clap de fin d'une couteuse guignolade initiée par Jean PLENAT et son escouade plus préoccupé de régler ses comptes de campagne que de rassembler les concitoyens autour de projets réalistes.
Adjoints et conseillers, ont pataugé à l’envi dans cette boue, unanimes pour tourmenter  la famille Benvenuti sans se soucier des dégâts collatéraux supportés par deux autres familles bien étrangères aux guéguerres locales  ; unanimes pour taper dans la poche du contribuable afin de satisfaire l’égo boursouflé du chef de village.
RAPIDE RAPPEL DES FAITS
Le 25 mars 2014 au lendemain des élections municipales (23/3/14), alors que la liste fraîchement élue, conduite par Jean PLENAT n’est pas encore installée, l’élu demande à la Police Municipale de la Commune, de faire un constat (Photo de la coursive qui distribue les appartements de l’Immeuble "DOUCE FRANCE" au lieudit Le Canadel, place du révèrent Père PIRE (Face à l’Eglise du CANADEL) 
Cliquer sur les photos pour agrandir
Ils ouvrent les dossiers prioritaires, font le tri, mettent de côté les problèmes mineurs comme la Pharmacie, les logements sociaux, les plages et autres babioles...Et prennent en priorité l’éventuel reconnaissance en passage public du balcon permettant l’accès aux appartements de l’immeuble "DOUCE FRANCE" !! 
Cet empressement à se mettre au travail avait de quoi surprendre !




En fait, dans cet immeuble vit, notamment, Annie BENVENUTI sœur de l’ex 1er adjoint Pierre Noël BENVENUTI plus connu au village sous le nom de "COCO" dont le seul tort fût de s’opposer à eux lors des élections municipales de 2014.
Cette plénatie naissante a une conception très personnelle de la démocratie participative. Elle tient à ce que cela se sache. L’impudent doit être recadré. 
Oui, mais l’homme n’est pas de ceux que l’on bouscule facilement... 
On tergiverse et on finit par arrêter une stratégie de diversion :
La plus vile, celle du mafieux : S’attaquer à la famille pour atteindre la cible…. 
Tous les moyens sont bons : 

-Constats de police douteux; 

-Études topographiques hasardeuses faites par un géomètre payé par la commune qui déclarera 3 mois après "Ne pas avoir approfondi le sujet"

-Faux témoignages de la part d’élus et notamment d’une adjointe à titre personnel; 

-Annonces de plaintes de voisinage jamais enregistrées ; 

-Investigation de la gendarmerie pour évaluer l’objet "du trouble public" en fait des pots de fleurs et jardinières qualifiés "d’encombrants" par les élus; 

-Grotesque défilé de petits sympathisants du maire, invoquant son accord pour emprunter le balcon fleuri via la plage… Ridicule mascarade d’autant que de mémoire de copropriétaires, aucun tiers n’est venu revendiquer un quelconque besoin d’emprunter ce passage et pour cause !
Pire, pendant plus de 40 ans, trois édiles se sont succédé sans émettre un seul doute sur ce passage privatif…C’est trop, n’en jetez plus !

Bien qu’ils s’en défendent, cet acharnement, n’est rien d’autre qu’un minable règlement de comptes post électoral lancé, on n’invente rien, un 1er avril qui se solde par une addition salée d'environ 20.000 € (Frais d'avocat compris)  que les élus n'hésitent pas à soutirer des poches du contribuable...Quand on déteste, on ne compte pas ! 


RÉSULTATS

Le tribunal a rejeté, le 15 mars, le recours en appel déposé par le Conseil municipal du Rayol-Canadel contre la copropriété Douce France.

Ils condamnent la commune :
1/A verser 10.000 € (toutes procédures confondues) aux copropriétaires de l’immeuble ‘’Douce France’’  (Qui seront pris dans la poche du contribuable…)
2/A retirer le panneau "Passage public" installé abusivement à l’entrée de la copropriété, côté RD 559, au début de l’année 2015, sous astreinte de 100 €. 
Mesdames et messieurs vous avez surestimé l’appétit du juge, la couleuvre était un peu trop grosse ! 
Circulez, il n’y a plus rien à voir…

ET MAINTENANT ?
Si l’on peut se demander où est l’intérêt général dans cette affaire, elle reste annonciatrice de la gestion communale actuelle, vérolée par la manipulation, le  mensonge, le copinage à la limite du conflit d’intérêts qui sévit depuis plus de 4 ans, bien éloignée de celle en "Bon père de famille" souhaitée par le plus grand nombre.

Enfin, à la suite de cette abracadabrantesque histoire, on pouvait espérer que les élus aient trouvé mieux à faire. C'était sans compter sur leur aversion à la démocratie participative.
Une autre affaire du même acabit fera bientôt la une d'un prochain Goodmorning Rayol, seul journal d'information de la commune du Rayol-Canadel.


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